Norris : La ‘plus grande faiblesse’ de McLaren F1 va ressortir au Canada
Lando Norris est un peu inquiet pour McLaren F1 au Grand Prix du Canada. Le pilote pense que l’équipe de Woking va avoir plus de difficultés à trouver un bon compromis pour régler sa monoplace. Il explique que Monaco a été favorable à McLaren car il n’y avait que des virages lents, mais que la MCL38 est un peu plus difficile à régler avec des compromis.
“Je pense que c’est encore notre plus grande faiblesse, et oui, nous avons Ă©tĂ© bons Ă Monaco, mais c’est quand vous pouvez vous concentrer sur la vitesse lente. Je pense que lorsqu’il faut se concentrer davantage sur les vitesses moyennes et faibles en mĂŞme temps, c’est lĂ que nous avons du mal Ă trouver un meilleur Ă©quilibre entre les deux” a dĂ©clarĂ© Norris.
“Et Monaco est Monaco, donc je ne dirais pas que nous avons rĂ©glĂ© notre vitesse lente, je pense que nous devons encore l’amĂ©liorer pour ĂŞtre Ă la hauteur de la Ferrari. Je pense qu’ils sont la rĂ©fĂ©rence en matière de virages Ă vitesse lente.”
InterrogĂ© sur la possibilitĂ© de voir McLaren rĂ©ussir Ă lutter contre Red Bull sur un tracĂ© qui n’avantage pas sa monoplace, Norris est sceptique : “Au niveau de Red Bull, clairement nous ne le sommes pas, car malgrĂ© leurs difficultĂ©s, ils ne sont pas mauvais dans les virages lents, en mĂŞme temps.”
“C’est juste une combinaison de tenue de route, de confiance et de sensation du pilote dans la voiture, donc je ne pense pas que ce soit aussi simple que cela. Je ne pense donc pas que ce soit aussi simple que cela. Mais nous nous sommes clairement amĂ©liorĂ©s. C’est probablement l’un des domaines dans lesquels nous nous sommes le plus amĂ©liorĂ©s.”
MalgrĂ© des progrès plus importants qu’espĂ©rĂ©, McLaren a encore des problèmes Ă rĂ©gler, comme l’explique Norris : “J’ai toujours l’impression de lutter autant, ce qui est toujours la chose que l’on ressent dans la voiture.”
“Mais je me bats avec les mĂŞmes choses, ce n’est pas comme si nous avions rĂ©solu nos problèmes. Je ne me sens toujours pas confiant et Ă l’aise avec certaines choses de ce point de vue, mais il est clair que nous sommes plus proches de ce que nous devons ĂŞtre, par rapport aux autres Ă©quipes qui nous entourent.”